C’est une des préconisations de la Cour des Comptes pour résorber le déficit de la sécurité sociale et améliorer la relation médecin-patient. La télémédecine peine encore à s’imposer dans l’Hexagone. 2 % des Français auraient eu recours à ce moyen pour faire une consultation.

Un système qui en inspire un autre : celui de la e-santé. A Montauban, la start-up « Heal’N Trade », soigner et échanger en français, fondée il y a quelques mois, propose aux médecins généralistes un service pour dialoguer avec des spécialistes via le web.

Un système qui permet aussi de transmettre des données médicales en cryptées afin d’avoir un diagnostic plus rapide.

Plus de 300 médecins en sont déjà clients, explique sa présidente, Françoise Giroux-Ragot.